vendredi 4 décembre 2015

Traitement Varroa Evaporateur à gaz


Cet appareil conçu à la base pour l'acide oxalique peut également servir à la diffusion dans la ruche d'huiles essentielles ( Thymol par exemple).
L'évaporation d'acide oxalique permet de combattre les varroas dans les colonies. Les abeilles supportent très bien ce traitement qui, il faut le noter, est très respectueux de l'environnement. Reste à savoir quel moyen utiliser pour y parvenir.
Les évaporateurs électriques de type Varrox qui se présentent sous la forme d'une coupelle chauffante que l'on introduit par la planche d'envol peuvent entrainer une élévation brutale de la température dans la ruche et la mort des abeilles situées sous la grappe du fait de la température élevée de la coupelle. Des précautions d'emploi doivent d'ailleurs être prises avec les ruches en plastique. De plus, les résistances placées dans la coupelle sont, je pense, de type bougies de préchauffage de voiture; quid du  remplacement et du coût correspondant ?
Ces évaporateurs, hormis ces inconvénients sont très efficaces en dehors de la période du couvain; en effet, l'acide oxalique n'agit pas sur  les varroas qui se trouvent dans des cellules operculées. Le traitement ne peut donc être réalisé qu'en novembre, décembre ou janvier.
Pour s'affranchir des inconvénients de l'évaporateur électrique, j'ai conçu un évaporateur à gaz VarroClean avec une turbine qui insuffle  les vapeurs d'acide oxalique dans la ruche . La chauffe de l'acide oxalique se fait en dehors de la ruche avec par exemple une lampe à souder ou un chalumeau. 2 grammes environ d'acide oxalique sont introduits en l'état sans mélange préalable à la base du tube vertical qui comporte un bouchon démontable à la main.Le temps de traitement est identique ( 3 minutes) puis la ruche est maintenue fermée pendant 15 minutes.La partie de l'instrument qui est introduite dans la ruche par le trou d'envol est au pire tiède.
L'efficacité est d'au moins 95%.
Efficacité et rapidité !
De plus cette technique peut être utilisée lors de  la récupération d'essaims ou la création de groupes d'abeilles pour partir sur une colonie saine qui aura plus de chances de se développer dans de bonnes conditions.
Le traitement avec l'évaporateur à gaz peut être réalisé deux fois si nécessaire en novembre puis en décembre ou janvier avant le démarrage de l'activité de printemps.
Cet appareil de conception robuste me donne entière satisfaction . Je suis prêt à en faire profiter tous les apiculteurs qui le souhaitent. Il suffit pour cela de me contacter, je pourrais alors apporter tous les renseignements complémentaires et en indiquer les modalités d'obtention.

Ajout en avril 2011:

En janvier 2011, pour optimiser le fonctionnement de cet appareil et pour s'affranchir du risque de cristallisation de l'acide oxalique  dans les tubes à basse température ( inférieure à 10 °C ), j'ai procédé à des relevés de température sur le tube horizontal en entrée de ruche en conditions de fonctionnement. J'ai pris comme hypothèse de ne pas dépasser à cet endroit là la température d'utilisation du PEHD qui constitue les planchers en plastique ( température d'utilisation 100 °C). Cela m'a permis d'optimiser la longueur du tube vertical ( la photo n'est plus contractuelle).Les essais ont alors été concluants à très basse température ( 3 à 4 °C sans vent). La plage d'utilisation en température est maintenant plus étendue, il est toutefois conseillé de ne pas faire le traitement à moins de 10°C pour que la grappe d'abeilles ne soit pas trop serrée et que les vapeurs en atteignent le coeur.

Ajout en juillet 2011:

Ce traitement Flash à l'acide oxalique devrait normalement être complété par des traitements de longue durée par exemple à l'acide formique ou au thymol par évaporation dès la dernière récolte du miel pour agir sur les varroas présents dans le couvain. En effet, la pression des varroas sur la colonie est la plus forte en août, septembre et octobre quand la population d'abeilles et de couvain décroissent.
Sachant que le traitement à l'acide formique par évaporation peut conduire dans certains cas à la mort de la reine en cas de concentration trop forte du produit, je vais tenter cette année d'utiliser l'évaporateur à gaz avec l'acide oxalique dès le mois d'août à raison d'un traitement par mois ( août, septembre, octobre et novembre); sachant que le traitement n'agira que sur les varroas présents hors couvain, cela va t il suffire à contenir la population du parasite à un niveau acceptable ? Les avis  sur le sujet sont les bienvenus.

Ajout en décembre 2015 :

Depuis 2012, je traite uniquement mes ruches à l'acide oxalique avec mon évaporateur à deux périodes différentes de l'année;
Tout d'abord, juste après la dernière récolte de début août, à faible dose ( un tiers de gramme) 3 fois de suite à 8 jours d'intervalle pour réduire la pression du varroa; l'acide oxalique n'agit que sur les varroa hors couvain
Et bien entendu une fois en décembre ou janvier à dose normale ( 2 grammes) hors période de couvain

 Cela va probablement faire réagir des apiculteurs puisque  sur des forums  circule une information dont je n'ai pas retrouvé la source comme quoi l'acide oxalique ne doit être utilisé qu'une fois par an pour éviter de perdre des reines. Mes ruches se portent a priori bien et je n'aperçois que très peu d'abeilles aux ailes déformées.
 Je n'ai pas mis en place de protocole de comptage de varroas pour valider les résultats que j'obtiens mais cela semble bien fonctionner

Ruche kenyane TBH:

Je suis en warré mais  je voulais tester la ruche kényane qui est donnée pour être une ruche facile à conduire et dans laquelle les abeilles sont particulièrement douces.
J'ai bien tenté de collecter des informations sur le Net sur le dimensionnement de cette ruche mais je n'ai pas trouvé de plans détaillés qui respectent l'inclinaison des parois à 120 °  pour éviter le collage des galettes aux parois.

J'ai donc fait les plans par moi même  avec les contraintes suivantes:
- respect de cet angle de 120 °
- plancher grillagé amovible et  sous plancher plein amovible
- partie vitrée pour observations comme sur mes warrés

Je tenais  à avoir un plancher grillagé amovible pour faciliter le nettoyage de la ruche sachant que j'ai positionné l'entrée à mi hauteur: il ne me paraissait pas souhaitable de contraindre les abeilles à remonter les déchets jusqu'à l'entrée. Et pourquoi dans ce cas, me direz vous, ne pas placer l'entrée dans le bas, et bien pour limiter les déplacements dans la ruche pour les abeilles

Je n'étais pas très fixé pour la réalisation du toit; j'hésitais entre un toit à une pente et un toit type chalet. Et les circonstances ont fait que j'ai récupéré sur le chantier d'un voisin des chutes de bac acier avec un isolant en  mousse de polyuréthane. Cela permettra de réduire la surchauffe l'été et d'isoler contre le froid l'hiver.

Voilà quelques photos prises avant mise en peinture à l'ocre rouge






























Pour la trappe qui occulte la partie vitrée; j'ai collé sur du contreplaqué de 10 mm du polystyrène extrudé de 20 mm d'épaisseur.

Il me reste à les mettre en peinture et à y installer dès la saison prochaine des essaims
Je ne manquerai pas de donner des nouvelles des résultats obtenus avec ces ruches
Pour ceux qui le souhaitent, je peux apporter des précisions sur les dimensions des ruches; les plans ont été établis sur papier à l'échelle 1/2, je ne les ai pas informatisés.

Voilà une semaine plus tard les ruches peintes








Et pour ceux que cela intéresse, voilà des croquis de ma ruche




















INSTALLATION DES ESSAIMS:

J'ai récupéré deux beaux essaims les 4 et 5 juin 2013 ; je les  ai installés dans mes deux ruches kényanes
Premier constat: bonne acceptation de l'habitacle par les abeilles et la planche d'envol sur la grande face leur convient bien: atterrissages dans de bonnes conditions et pas d'embouteillage même en période d'affluence. Les conditions climatiques sont favorables ( temps sec ensoleillé)
Le 9 juin, premières rentrées de pollen pour les deux ruches, cela préfigure de bonnes choses.
Enfin, seul le contrôle de la ponte d'ici quelques semaines pourra le confirmer.
Nota: comme pour tous les essaims, j'ai fait un traitement à l'acide oxalique avec mon évaporateur à gaz le lendemain de l'installation, de bonne heure le matin avant que les abeilles ne sortent en grand nombre; cela permet de démarrer sur une colonie saine sans risque pour la reine.

Voilà deux photos




 Photo de l'essaim prise à travers la vitre le 9 juin 2013:
On ne voit pas encore les galettes de cire cachées par les abeilles et pourtant la construction a débuté vu les écailles de cire au sol



Ajout le 13 février 2014:


Avec son accord, je publie le premier courriel que Jacques TURCHET m'a envoyé le 18 janvier 2014; avec son expérience de la ruche KTBH notamment en Afrique, cela permet d'alimenter le débat et nous conduira , enfin je l'espère, à un dimensionnement optimisé de cette ruche si plaisante à utiliser.

Voilà son courriel:

 Bonjour,

Je suis allé tout à fait par hasard sur votre site et il a retenu toute mon attention. Tout comme vous j'ai des ruches warré depuis 1978 car j'avais pas mal de problèmes avec les dadant surtout l'hiver, j'habite en bresse dans la région de MACON saône et loire, région mal saine car trés humide l'hiver. Quand j'ai découvert la ruche warré, je croyais avoir trouvé la ruche idéale, certes elle est bien et correspond bien à la biologie de la grappe, cette ruche a fait l'objet d'une thèse de doctorat que j'ai présenté en 1979. Avec le temps, je me suis vite aperçu qu'elle avait aussi des défauts que vous avez du aussi constater: par grand vent, elle n'est pas stable de part sa hauteur et trés peu pratique pour rechercher une reine avec le nombre de corps, mis à par cela le reste est bien. Si je vous contacte aujourd'hui c'est surtout pour parler de la KTBH car j'ai vu que vous en avez aussi et j'aimerais savoir comment vous l'avez connue.

Personnellement j'ai connu cette ruche en Afrique  où j'y ai résidé une dizaines d'années professionnellement mais c'est surtout en Centrafrique que j'ai beaucoup utilisé cette ruche avec grand succès d'ailleurs car elle convient trés bien aux coutumes des abeilles Africaines qui désertent souvent les ruches à cadres qui ne leurs convient pas trés bien, sur place nous avions construit des ruches avec des dimensions trouvé dans la littérature car personne ne donne les mêmes dimensions, les uns donnent un angle de 110°, les autres 115°, d'autres 120°, c'est un peu l'anarchie mais en Afrique cela n'a pas beaucoup d'importance car l'abeille Africaine possède la particularité de ne pas coller la cire aux parois de la ruche donc aucun problème mais avec les abeilles européennes c'est différent. En Afrique avec cette ruche nous avions des récoltes de 30kg par ruche pafois plus, l'extraction se faisait au pressoir à cliquets et double filtration cela donnait un miel d'une grande qualité car le miel obtenu par pressage n'est pas chargé en oxygène comme par centrifugation, il conserve son parfum d'origine et se conserve mieux, c'est une constatation que j'ai faite avec la ruche KTBH. Nous avions aussi des ruchettes de cinq barrettes pour la capture des essaims et l'élevage des reines, des trappes à pollen également. Si cela vous intéresse, je peux vous faire passer des photographies.

De retour en France car je suis en retraite, jai construit des KTBH pour voir ce que cela pouvait donner avec nos abeilles, j'ai donc repris les dimensions que nous avions à Bangui avec un angle de 115° mais les problèmes de collage des rayons sur les parois n'ont pas tarder à apparaître et là, gros problème. J'ai repris des recherches poussées sur l'origine de cette ruche qui me conduisirent au Canada, en Angleterre et au Kenya car elle avait été inventée pour ce pays, d'ailleurs ne l'appelle t-on pas ruche kenyane, l'inventeur de cette ruche est malheureusement plus de ce monde mais j'ai pu retrouvé une bonne documentation et partout j'ai retrouvé l'angle de 120° qu'il préconisait. Instruit de ces dimensions, je me suis remis au travail et j'ai reconstruit quelques prototypes avec d'autre dimensions, Angle de 120°, hauteur plus Basse, mais plus large, fond amovible pour faciliter le nettoyage et autofixation de la cire sans aucun collage, j'y ai ajouter des ventilations que l'on peut fermer ou ouvrir selon la température extérieure et j'ai fait des nourrisseurs pour le sirop ou le candi qui sont différents l'un et l'autre. Avec cet angle de 120°, je n'ai pas eu de collage à ce jour, voila ce que je peux dire, je pense vraiment que l'auteur de cette ruche savait ce qu'il faisait quand il la mise au point et je regrette vraiment que cet angle n'a pas été respecté et cette ruche n'a pas été standardisée correctement et universellement.

 Pouvez me dire dans quelle région du nord vous résidez car je connais bien le nord et j'y ai de bons amis, à l'occasion d'un passage, je pourrai passer voir vos ruches.

                                                                                                                                                                                               Bien cordialement  Jacques TURCHET







Voilà trois photos de Bangui en Afrique qu'il m'a autorisé à publier:









Depuis, nous échangeons souvent par téléphone. Il a aimablement modifié mes photos pour y placer des annotations . J'ai remplacé les photos initiales par celles ci.

Jacques TURCHET continue d'expérimenter la ruche KTBH . De ses réflexions actuelles, j'ai surtout noté:
- qu'il n'a pas constaté de différence selon la position du trou d'envol ( en extrémité ou sur le grand côté)
- qu'il faut respecter l'angle de 120 ° et limiter la hauteur intérieure à 21 cm

Mes ruches KTBH ayant une hauteur intérieure de l'ordre de 30 cm, je vais, au cours de la saison 2014, voir comment les abeilles se comportent ( vont elles remplir la partie basse) et tester la stabilité des galettes.



Ajout le 4 décembre 2015:

Modification des entrées de ruches: 
J'ai apporté une modification à l'entrée de mes deux premières ruches en perçant une série de trous (dont un oblong pour le passage de l'évaporateur ) à ras du  plancher grillagé; les deux planches d'envol sont utilisées par les abeilles; l'hiver je ferme l'ouverture supérieure pour limiter l'entrée d'air ; nota :le plancher grillagé n'est pas occulté l'hiver






Modification des barrettes:
Mes barrettes comportaient uniquement un fin filet de cire coulé dans une rainure peu profonde ( 2 à 3 mm) pour guider les abeilles dans leur construction. Afin de donner plus de rigidité aux galettes très hautes ( 30 cm); je réalise une rainure de 6 mm de largeur et de 10 mm de profondeur dans laquelle j'insère avec collage une baguette de bois de 25 mm de hauteur ( elle dépasse donc de 15 mm); je coule un peu de cire liquide à l'extrémité de cette baguette.
Constat après une saison:
-  la stabilité des galettes est effectivement meilleure étant donné  la surface de collage plus importante de la galette et la forme du dessous de la barrette
- le guidage des abeilles dans leur construction est satisfaisant

Conception d'une nouvelle ruche KTBH en 2015:

J'ai conservé les mêmes dimensions; les modifications portent sur:
- les entrées latérales à gauche et à droite sur la grande face dont seule celle de gauche est utilisée; celle de droite est utile en cas de forte miellée ou de division
- le plancher grillagé n'est plus à coulisses car très vite les abeilles le propolisent  rendant impossible son coulissement même en le faisant fonctionner régulièrement; même si je pense qu'on peut se contenter d'un plancher fixe,  j'en ai réalisé un monté sur charnières
- le toit plus esthétique

voilà quelques photos












 






                                                                  Ruchettes 8 barrettes





                                                           Cloison avec grille à reine




Ces deux ruches ont été peuplées en mai 2015  avec des essaims

Comparaison entre mes deux modèles de ruches: 
- en 2015, elles ont toutes essaimés malgré une gestion fine du volume occupé au fur et à mesure du développement de la colonie; le remérage s'est bien passé à chaque fois
- bien entendu pas de récolte pour cette nouvelle ruche; pour les deux autres, récolte limitée due à l'essaimage
- avec l'entrée centrale, la récolte de miel se fait de chaque côté alors qu'avec l'entrée latérale elle devrait se faire à l'extrémité opposée de l'entrée
- pour la période hivernale, j'ai constaté que la colonie se positionne dans tous les cas d'un côté de la ruche même avec l'entrée centrale

Les ruchettes n'ont pas été utilisées en 2015; en 2016 je m'en servirai pour y placer soit des essaims soit  des cadres de couvain et de nourriture prélevés dans les ruches pour tenter de freiner la fièvre d'essaimage

Récolte du miel en warré

L'extracteur traditionnel n'est pas adapté pour la récolte du miel en ruche warré. En effet l'utilisation de barrettes ou de rayons comme le préconise Gilles Denis ne le permet pas. J'ai donc conçu un système me permettant de récolter au maximum 70 litres de miel par opération.


Composition du matériel:

Un broyeur à cire
Une cuve avec grille horizontale
Un double filtre du commerce
Un maturateur
Une presse


Je me suis inspiré du principe de broyeur à glace et non de la Moulimiel commercialisée par Gilles Denis que je n'ai pas eu la chance de voir fonctionner chez un apiculteur. Le principe en est simple: j'ai débité des couteaux de forme identique  dans une feuille d'aluminium d'un millimètre d'épaisseur; ils sont enfilés sur une tige filetée qui fait office de manivelle; l'écartement entre les couteaux est réalisé avec des écrous en inox; une contre lame en aluminium est fixée sur une des faces de la trémie . Sa forme et sa distance par rapport aux couteaux conditionne la finesse du broyage ( voir coupe et détail couteau ci après)


 Broyeur en position de travail



Coupe schématique du broyeur

 






Croquis des couteaux





Détails des couteaux



















 Cuve de décantation, double filtre et maturateur





 Grille horizontale dans la cuve de décantation







 Galette de cire dans le broyeur









 Presse pour extraire le miel qui reste dans la cire broyée ( environ 1/10 de la récolte) 



la cire est placée dans une étamine entre les deux plateaux






Ajout en décembre 2015:

Pour la récolte 2015, j'ai utilisé un broyeur aux mêmes caractéristiques mais tout en inox avec quelques adaptations:
- l'axe de la  manivelle est réalisé en tige filetée inox de 10 mm au lieu de 8 mm sur le prototype initial; l'espacement des couteaux est toujours réalisé au moyen d'écrous en inox mais l'espacement est du coup un peu plus important ( les écrous sont un peu plus épais); les couteaux sont toujours décalés selon une forme hélicoidale pour faciliter l'entrainement des galettes
- la manivelle est montée sur roulements à billes
- la contre lame est plus épaisse pour ne pas fléchir lors du broyage ; à voir sur la dernière photo  la forme courbe de la contre lame ; elle est fixée à la paroi inclinée par des trous oblongs pour affiner sa position par rapport aux couteaux


Voilà quelques photos





                                           Couteaux vus de l'intérieur du broyeur






                          Les couteaux sont pratiquement au contact de la contre lame




                                                        Couteau et contre lame



Un apiculteur qui a réalisé un broyeur selon mon descriptif a ajouté un peigne pour nettoyer automatiquement les couteaux; c'est une amélioration très intéressante que je vais mettre en oeuvre pour la récolte 2016. L'utilisation du broyeur est de ce fait optimisé
Voilà le lien du blog de cet apiculteur que je remercie à cette occasion:

 http://ecodouble.farmserv.org/index.php?tag/Broyeur%20de%20rayons%20de%20miel